Ce blog collecte pour vous de courtes citations sortant des sentiers battus, mais souvent très éclairantes. L'objectif déclaré est d'élargir par les mots notre horizon humain et spirituel. Les textes non signés sont tirés du livret 'Dieu paradoxal' d'Ephraïm. Libre à vous de me proposer d'autres citations afin d'étoffer cet espace de partage. Le ciel, certes, peut attendre. Mais pas les mots qui nous aident à gravir l'échelle de Jacob.
Nous ne sommes pas faits pour souffrir.
C'est contre nature.
Nous sommes fait pour le bonheur.
Mais le bonheur est très souvent au fond de la souffrance.
Il faut y aller à fond, avec un regard de Foi.
Augustin Guillerand
posted by Jeanmarime @ 4:25 PM
3 comments
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j'ai remarqué que parfois , au terme d'angoisses particulières par rapport à une situation, qui finit par se dénouer, je me disais " cette fois, je serai vraiment heureuse, et je suis comblée, je ne réclamerai rien d'autre " .
et petit à petit, même s'il reste cette reconnaissance, d'autres manques finissent par assombrir ma vision.
Dieu n'a pas fait l'homme pour lui faire mener une vie de souffrance, et en même temps on dirait que nous ne sommes capables de reconnaitre les grandes lumières de notre vie que quand elles surviennent après des périodes d'ombre et de tristesse .
"Réjouissez vous toujours dans le Seigneur", nous dit la Bible .
C'est une exhortation, pour faire ce choix de vie , un choix de tous les jours
Cela est trop vrai. On ne jouit jamais autant de la lumière qu'entre deux zones ou périodes d'ombre. Mais rester au soleil peut sembler aussi ennuyeux qu'une journée allongé sur la plage. On se sent vivre en gravissant les sommets. En y laissant un peu de soi, de son superflu. Alors qu'allongé sur le sable; on peaufin sa superficie.
Cela est trop vrai. On ne jouit jamais autant de la lumière qu'entre deux zones ou périodes d'ombre. Mais rester au soleil peut sembler aussi ennuyeux qu'une journée allongé sur la plage. On se sent vivre en gravissant les sommets. En y laissant un peu de soi, de son superflu. Alors qu'allongé sur le sable; on peaufin sa superficie.
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