Pause bonheur
De temps à autre,
il est bon de faire une pause
dans notre quête du bonheur
et d'être simplement heureux.
Guillaume Apollinaire
il est bon de faire une pause
dans notre quête du bonheur
et d'être simplement heureux.
Guillaume Apollinaire
posted by Jeanmarime @ 5:28 PM
4 comments
4 Comments:
Il vaut mieux que la pause dure le plus longtemps possible , dès qu'on a suffisamment de maturité pour comprendre que la quête du bonheur ne mène à rien , mais que le bonheur,c'est le merci pour ce qui est bon, c'est aussi éviter de se faire du mal.
Peut-être faudrait-il effectivement arrêter de chercher le bonheur. Mais
le trouver, simplement. Là ou il est réellement. En Dieu. Dans la paix et la
joie promises par Christ. Lorsqu'on les reçoit, on s'aperçoit que ce ne sont
ni la joie ni la paix que les plaisirs du monde font miroiter devant nos
yeux. Non, ce n'est pas la même chose. Déjà, cette joie et cette paix sont
permanents. Quoiqu'il arrive, on reste désormais stable dans son coeur, dans
ses sentiments, il n'y a plus ces grandes dépressions, ces trous si
profonds. Nous pouvons vivre intérieurement librement, n'étant plus esclaves
des humeurs. De plus toutes choses reprennent leur juste dimension... c'est
peut-être le début de la sagesse? Mais cette joie - car la sagesse n'est ni
triste ni austère - et cette paix comblent réellement tous les besoins du
coeur humain. Dieu les a faites pour nous. Créateur, il sait de quoi ont
besoin ses créatures pour être heureuses. Il attend seulement qu'on veuille
bien lui confier nos besoins, nos humeurs, nos sentiments... afin qu'il
puisse y mettre son amour. Alors, nous nous arrêterons de chercher le
bonheur. Nous pourrons en donner. Sans rien attendre d'autre que
l'approbation de notre Père. Et c'est là le comble du bonheur. Sa plénitude.
Bien sûr que rien ne vaut la béatitude éternelle !
Qui se recevra plus qu’on ne la cherchera.
Mais le poète nous invite à cesser momentanément à courir après le pas-encore pour jouir du déjà-là.
Ce déjà-là qui seul est en nos mains. Accueillir le présent comme un présent.
Pour ensuite, comme dans le film, se souvenir des belles choses.
Je parlais du bonheur présent. Non celui à venir.
Dieu désire notre bonheur dès maintenant, et pas dans une très lointaine (des années lumières dans nos imaginations... peut-être très bientôt dans la réalité) éternité...
Cela dépend de notre dépendance, de notre intimité avec lui. A chaque instant.
Jésus désire nous donner sa paix et sa joie, maintenant.
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